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__sélection d'expositions:

Prospective Paresseuse

(solo show)

 

3 septembre ___ 2 octobre 2021

 

Ateliers Vortex

71 - 73 rue des Rotondes

21000 Dijon

 

Artefacts Googie

(multiples)

 

23 juillet 2021 ___ ...

 

Librairie du Consortium,

Consortium Museum

– 37 rue de Longvic

21000 Dijon

 

Studiolo,

Frac Franche-Comté

- 2, passage des arts

25000 Besançon

 

Eighties lo-fi (partie I)

(solo show)

 

10 juillet 2021 ___ ...

 

Vent des Forêts,

Espace rural d'art contemporain

- 21 rue des Tassons

55 260 Fresnes-au-Mont

 

The many faced God.dess

(group show)

 

19 mai ___ 10 juillet 2021

 

Maison Populaire

9 bis rue Dombasle - 93100 Montreuil

 

 

Caelestis Office

Jeune Création Contemporaine

Biennale de Lyon 2019

(group show)

 

16 septembre 2020 ___ 05 janvier 2021

 

Institut d’Art Contemporain

- 11 rue Docteur Dolard

69100 Villeurbanne

 

 

Sedona

(group show)

 

09 février ___ 18 mai 2019

 

Villa du Parc

Parc Montessuit

– 12, rue de Genève

74100 Annemasse

 

 

Delight on Enceladus

(solo show)

 

16 novembre 2018 ___ 9 mars 2019

 

les Galeries Nomades, avec l'IAC

Galerie Antichambre

- 15 rue de Boigne

73000 Chambéry

 

Duo Duel Dual

(duo show)

 

15 mai ___ 09 juin 2018

 

Galerie B+

- 1 rue Chalopin

69007 Lyon

 

 

Hamilcar

63ème salon de Montrouge

(group show)

 

28 avril ___ 23 mai 2018

 

Le Beffroi de Montrouge

- 2 place Emile Cresp

92120 Montrouge

 

Last Night lo-fi

Biennale de la jeune création contemporaine, Mulhouse

(group show)

 

10 juin ___ 13 juin 2017

 

Parc expo de Mulhouse

- 120 rue Lefebvre

68100 Mulhouse

 

 

Hell and Heaven Bank Note

Prix de Paris

(group show)

 

Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon

- 8 bis quai Saint-Vincent

69001 Lyon

 

 

The best lasers for the best raves

Prix de la fondation Renaud

(group show)

 

Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Lyon

- 8 bis quai Saint-Vincent

69001 Lyon

 

 

à propos de l'exposition:

 

Prospective Paresseuse est orientée vers un champ d’investigation, mêlant science-fiction et mysticisme.

Cet univers de recherche, sombre et prospectif, est guidé par des interrogations sur notre compréhension de la science dans un futur proche; à l’heure ou le fonctionnement de nos technologies et des appareils qui nous entourent est géré par des logiciels complexes, la science a vocation à devenir mystérieuse, presque ésotérique.

A quel moment aura lieu le basculement de la science vers la magie ?

Quelle forme prendra le sacré dans un futur proche?

 

à propos de l'exposition:

 

Cette série de sculptures est inspirée des symboles du Googie, un style architectural apparut en Californie au début des années 50.

Ce style se caractérise par des éléments physiques multiples et des couleurs vives. Il représente à cette époque une vision positive du futur, tournée vers l’espace et la technologie.

La série de pièces réinterprète les codes de cette architecture insolite tout en introduisant des matériaux naturels et un aspect artisanal.

Elle à pour but de réactiver ce futur résolument optimiste tout en l'adaptant à nos considérations contemporaines.

 

à propos de l'exposition:

 

Cette première partie d’une installation de plus grande échelle présente un personnage agenouillé en position d’offrande,

présentant une tête alienoïde en verre.

Cette scène suggère un rituel en cours, sans en fixer les contours ou les enjeux.

Elle se déploiera avec l’apparition de différents monuments évoquant un sanctuaire aux références multiples, aussi bien gallo-romaines que prospectives.

 

à propos de l'installation:

 

Ces retables en bois mettent en scène des fragments de corps à la sensualité inquiétante.

Chaque image représente une créature divine au genre indéfini plongée dans une situation contemporaine.

Les retables, usés et salis, semblent avoir été prélevés dans une ville faite de chair. L’ensemble évoque un univers de science-fiction à la fois mystique et charnel.

à propos de l'installation:

 

Caelestis Office fonctionne comme une antichambre coincée entre deux époques.

Les pièces qui la compose évoquent des déesses méditerranéennes antiques,

transformées en sculptures publiques et érodées par le temps.

Il flotte dans l’espace une ambiance rappelant les salles d’attente des années 80, nostalgiques et obsolètes, en pleine déliquescence.

à propos de l'installation:

 

Cette installation fait référence à Sedona, la capitale américaine du New-Age.

Ces artefacts sont issus de multiples sources d’inspiration du New-age, depuis la Vénus de Sireuil à l’alien de l’area 51. Des balles de 22 long rifle sont incrustées dans chacune des pièces dans des zones précises, symbolisant autant les points de chakras que les points d’impacts vitaux des cibles de tir américaines.

à propos de l'exposition:

 

Delight on Enceladus est une installation sur la notion de bruit visuel: une perturbation rétinienne, que l’on retrouve autant dans le faste du baroque sicilien que dans le fourmillement du Danmaku, un style de jeux-vidéo japonais. Enceladus y joue le rôle de figure tutélaire par sa double identité; celle du géant mythologique enfermé sous l’Etna, et celle du satellite glacé de Jupiter, potentiellement porteur de vie.

à propos de l'installation:

 

A la manière des cocktails à étages dont elles sont inspirées, ces deux sculptures sont pensées en strates, chacune étant nécessaire au maintient de la suivante.

Il s’agit moins ici d’un écrasement de matières, que d’une composition formelle rappelant le style Googie, fleuron des années 50 américaines.

à propos de l'installation:

 

Dans Salammbô de Gustave Flaubert, les jardins d’Hamilcar, somptueux et exotiques, seront pillés et détruits par une armée de mercenaires. La description de ces jardins renseigne autant sur leurs richesses que sur la dévastation à venir.

Ils apparaissent ambivalents, et la ruine se mêle à la grandeur..

à propos de l'installation:

 

Last night lo-fi est une installation liée aux fantasmes et à la nostalgique.

Elle évoque deux approches du désir, différentes par leurs époques. Cette installation est inspirée par la série de gravures Ein Handschuh de Max Klinger, achevée en 1881.

Elle met en scène une quête amoureuse, à travers la trouvaille d’un gant par un jeune homme. Last night lo-fi réinterprète aussi les codes de la vaporwave, un genre musical qui puise ses racines dans une nostalgie des années 80.

 

à propos de l'installation:

 

Cette installation est composée d’éléments divers rentrant en corrélation pour proposer un voyage fantasmagorique entre science-fiction et esprit New-Age, teinté des craintes infectieuses inconnues, communes à toutes les grandes expéditions.

 

à propos de l'installation:

 

Cette installation rend hommage aux premiers lasers utilisés dans les rave-party de la fin des années 80. Le laser est alors imaginé comme technologie prospective et s’inscrit durablement dans les codes de la science-fiction. L’univers prospectif qu’il a anticipé est devenu depuis une imagerie obsolète.

 

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